Organisations
« L’enseignement supérieur du monde de la restauration et de l’hôtellerie associe le parfait dosage entre savoir être et savoir-faire » - Dominique Giraudier, Institut Paul Bocuse
Dans le milieu du recrutement, la mode est au savoir-faire (c'est-à-dire les compétences techniques) mais dans le réel, c’est le savoir-être qui fait toute la différence. Les qualités qui permettent à quelqu'un de gérer les relations dans différents environnements font souvent toute la différence. Le plus important est que le niveau de savoir-être de chacun doit être suffisant pour permettre aux savoirs-faire des gens d’être exploités efficacement, un équilibre que l’on acquiert aisément en école de management d'hôtellerie-restauration.
L’exigence de la transmission, l’excellence dans chaque projet, le goût et l’accueil qui caractérisent cette culture de l’art de recevoir à la française que le monde entier nous envie… Voilà un panel de valeurs que l’on retrouve dans le milieu de l’hôtellerie-restauration et qui se manifeste chez les managers issus d’une formation dans ce domaine. Contrairement aux écoles de commerce, qui privilégient les savoir-faires (ce qui représente un risque de se confronter un jour ou l'autre à des problèmes relationnels), l’enseignement supérieur du monde de la restauration et de l’hôtellerie, associe dans ses cursus bachelor et master, le parfait dosage entre savoir-être et savoir-faire.
Au-delà de toute considération technique, l’hospitalité et l’excellence du service imposent un savoir-être fondé sur des valeurs fortes de considération, d’écoute et d’exemplarité. Dans un monde qui s’universalise, savoir gérer l’exception et valoriser l’exclusif est destiné à devenir un élément clef de différence et d’employabilité.
L'absence de savoir-être d’un manager empêche la cohésion de l’équipe et limite les performances globales du groupe. Il existe des personnalités brillantes mais incapables de mutualiser les compétences pour permettre à l'équipe d'aller encore plus loin que la simple somme des compétences de ses membres. À l’inverse, l’absence de savoir-faire ne pourra faire avancer un projet.
Dès le plus jeune âge, il faut pouvoir enseigner le rapport aux autres, la force du partage et l’enthousiasme de l’énergie collective. C’est ce qu’il faut enseigner aux jeunes aujourd’hui pour guider leur avenir : transmettre les connaissances techniques et managériales avec exigence pour les préparer aux meilleures carrières. Pour permettre à un jeune de devenir quelqu’un, il faut d’abord le considérer comme étant quelqu’un, en lui permettant d’exprimer tous ses potentiels dans le fond comme dans la forme.
Si le monde de l’hôtellerie et de la restauration garantit le plein emploi et offre des carrières magnifiques en France et à l’international, c’est clairement parce que ses rites et pratiques révèlent avant tout de vraies personnalités.
Dans nos écoles, révéler le meilleur de chaque étudiant est aussi important que de lui transmettre les fondamentaux du management. Dans la vie professionnelle, le savoir-être fait en effet la différence pour non seulement être un bon manager mais aussi pour savoir se créer des opportunités. Contrairement aux idées reçues, l’enseignement supérieur hôtellerie-restauration n’est pas un enseignement professionnel fermé mais au contraire un enseignement ouvert sur le monde, sur les cultures et sur les autres.
C’est pour cela que l’Institut Paul Bocuse défend un modèle d’éducation original et innovant, au sein duquel chaque étudiant est unique et est mis en situation dans un enseignement basé sur la pratique, l’expérimentation et la prise de risque. Je défends nos valeurs d’exigence, de rigueur, de générosité, de respect et d’éthique. Aux ambitions classiques de performances d’élite et de prestige, il faut apposer audace, créativité, liberté et bonheur. Des ressources (comme l’excellence émotionnelle) doivent être développées à travers une ouverture d’esprit sur la danse, le théâtre et les arts de manière générale. Cela doit également être suivi par un accompagnement de parcours individualisé et collectif avec du coaching et des tests de comportement, permettant à l’étudiant de s’épanouir et développer son savoir-être.
Notre mission est de faire des gens responsables, engagés, solidaires et porteurs d’optimisme et de sens.
Qui est Dominique Giraudier ?
Directeur général de l’Institut Paul Bocuse, acteur majeur de l’élite internationale des formations initiales et continues, en « hospitality management » et arts culinaires, Dominique Giraudier a passé 12 ans au sein du groupe Casino, où il a successivement assuré des fonctions de direction. Pendant 15 ans, il a été à la tête du groupe Flo. Fondateur de la centrale « Convergence achats », il a été l'initiateur d'accords de filières innovants. Il s'est directement impliqué dans la défense de l'apprentissage et de la valorisation des métiers de la restauration et de l'hôtellerie. Dominique Giraudier a pour objectif de poursuivre le développement et le rayonnement de cette filière en France et à l'international.
L’exigence de la transmission, l’excellence dans chaque projet, le goût et l’accueil qui caractérisent cette culture de l’art de recevoir à la française que le monde entier nous envie… Voilà un panel de valeurs que l’on retrouve dans le milieu de l’hôtellerie-restauration et qui se manifeste chez les managers issus d’une formation dans ce domaine. Contrairement aux écoles de commerce, qui privilégient les savoir-faires (ce qui représente un risque de se confronter un jour ou l'autre à des problèmes relationnels), l’enseignement supérieur du monde de la restauration et de l’hôtellerie, associe dans ses cursus bachelor et master, le parfait dosage entre savoir-être et savoir-faire.
Au-delà de toute considération technique, l’hospitalité et l’excellence du service imposent un savoir-être fondé sur des valeurs fortes de considération, d’écoute et d’exemplarité. Dans un monde qui s’universalise, savoir gérer l’exception et valoriser l’exclusif est destiné à devenir un élément clef de différence et d’employabilité.
L'absence de savoir-être d’un manager empêche la cohésion de l’équipe et limite les performances globales du groupe. Il existe des personnalités brillantes mais incapables de mutualiser les compétences pour permettre à l'équipe d'aller encore plus loin que la simple somme des compétences de ses membres. À l’inverse, l’absence de savoir-faire ne pourra faire avancer un projet.
Dès le plus jeune âge, il faut pouvoir enseigner le rapport aux autres, la force du partage et l’enthousiasme de l’énergie collective. C’est ce qu’il faut enseigner aux jeunes aujourd’hui pour guider leur avenir : transmettre les connaissances techniques et managériales avec exigence pour les préparer aux meilleures carrières. Pour permettre à un jeune de devenir quelqu’un, il faut d’abord le considérer comme étant quelqu’un, en lui permettant d’exprimer tous ses potentiels dans le fond comme dans la forme.
Si le monde de l’hôtellerie et de la restauration garantit le plein emploi et offre des carrières magnifiques en France et à l’international, c’est clairement parce que ses rites et pratiques révèlent avant tout de vraies personnalités.
Dans nos écoles, révéler le meilleur de chaque étudiant est aussi important que de lui transmettre les fondamentaux du management. Dans la vie professionnelle, le savoir-être fait en effet la différence pour non seulement être un bon manager mais aussi pour savoir se créer des opportunités. Contrairement aux idées reçues, l’enseignement supérieur hôtellerie-restauration n’est pas un enseignement professionnel fermé mais au contraire un enseignement ouvert sur le monde, sur les cultures et sur les autres.
C’est pour cela que l’Institut Paul Bocuse défend un modèle d’éducation original et innovant, au sein duquel chaque étudiant est unique et est mis en situation dans un enseignement basé sur la pratique, l’expérimentation et la prise de risque. Je défends nos valeurs d’exigence, de rigueur, de générosité, de respect et d’éthique. Aux ambitions classiques de performances d’élite et de prestige, il faut apposer audace, créativité, liberté et bonheur. Des ressources (comme l’excellence émotionnelle) doivent être développées à travers une ouverture d’esprit sur la danse, le théâtre et les arts de manière générale. Cela doit également être suivi par un accompagnement de parcours individualisé et collectif avec du coaching et des tests de comportement, permettant à l’étudiant de s’épanouir et développer son savoir-être.
Notre mission est de faire des gens responsables, engagés, solidaires et porteurs d’optimisme et de sens.
Qui est Dominique Giraudier ?
Directeur général de l’Institut Paul Bocuse, acteur majeur de l’élite internationale des formations initiales et continues, en « hospitality management » et arts culinaires, Dominique Giraudier a passé 12 ans au sein du groupe Casino, où il a successivement assuré des fonctions de direction. Pendant 15 ans, il a été à la tête du groupe Flo. Fondateur de la centrale « Convergence achats », il a été l'initiateur d'accords de filières innovants. Il s'est directement impliqué dans la défense de l'apprentissage et de la valorisation des métiers de la restauration et de l'hôtellerie. Dominique Giraudier a pour objectif de poursuivre le développement et le rayonnement de cette filière en France et à l'international.
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