Les indicateurs sociaux, poumons des performances économiques et sociales
Il est insoutenable de voir des entreprises, des communes, des associations ou des États crouler sous le poids du seul fardeau économique et ainsi contraindre, affliger et écraser les valeurs humaines.
Nous avons construit cet environnement économique et il est aujourd'hui nécessaire de le réformer pour lui redonner un sens moral au service de l'Homme.
Que devient l'humain si le progrès moral n'accompagne pas les progrès de la science, de la recherche ou encore des nouvelles technologies ?
Pour que les indicateurs sociaux soient utilisés comme des mécanismes de stimulation de performances et plus comme de simples outils de gestion dans les entreprises ou encore comme des repères sociétaux qui orientent à tâtons des politiques économiques et sociales en perte de sens et d'efficacité, il faut aujourd'hui oser penser et agir différemment :
Pour les entreprises :
Pour ceux qui pensent que les choses sont immuables, ne nous décourageons pas devant les limites posées par notre système actuel et acceptons qu'elles peuvent changer : l'Histoire est en témoigne.
Retrouvez le dossier complet et les supports de travail ou de communication sur ce lien.
Nous avons construit cet environnement économique et il est aujourd'hui nécessaire de le réformer pour lui redonner un sens moral au service de l'Homme.
Que devient l'humain si le progrès moral n'accompagne pas les progrès de la science, de la recherche ou encore des nouvelles technologies ?
Pour que les indicateurs sociaux soient utilisés comme des mécanismes de stimulation de performances et plus comme de simples outils de gestion dans les entreprises ou encore comme des repères sociétaux qui orientent à tâtons des politiques économiques et sociales en perte de sens et d'efficacité, il faut aujourd'hui oser penser et agir différemment :
- dans chaque entreprise, négocier la mise en place d'un indicateur social sur la qualité de vie au travail ;
- dans chaque collectivité, co-construire un indicateur social pour arbitrer les choix ou les orientations budgétaires ;
- transformer la notion de « temps de travail » en « temps d'utilité publique » pour mieux prendre en compte l'implication des citoyens dans des activités ou des missions de bénévolat, d'intérêt général ou public.
Pour les entreprises :
- donner du sens à la notion de « qualité de vie au travail » et lui attribuer une place centrale dans la gestion économique,
- prévenir des risques professionnels (notamment les RPS),
- redonner du souffle à l'emploi,
- valoriser les pratiques de management vertueuses, source de productivité humaine et financière,
- offrir des contreparties concrètes à un pacte de « responsabilité sociale partagée ».
- apporter un contrepoids au pouvoir de la finance,
- diminuer les inégalités et rétablir l'équité,
- donner des moyens aux acteurs associatifs gage de solidarité,
- promouvoir la justice sociale,
- éteindre ou prévenir des conflits sociaux ou militaires.
- légitimer la prépondérance de la considération humaine dans nos processus décisionnels et permettre qu'elle justifie des arbitrages financiers importants quand c'est nécessaire (effacement partiel de dette...),
- contribuer tous ensemble à l’évolution plutôt qu'à la r-évolution.
Pour ceux qui pensent que les choses sont immuables, ne nous décourageons pas devant les limites posées par notre système actuel et acceptons qu'elles peuvent changer : l'Histoire est en témoigne.
Retrouvez le dossier complet et les supports de travail ou de communication sur ce lien.
Pas encore de commentaires