L'année 2015 sera marquée par des événements « remarquables ».

Le social, le sociétal et l'environnemental sont trois maître-mots en tête de gondole d'une société en plein doute, questionnement.

Serait-ce alors l'année du retour aux valeurs nobles et fortes, au dépassement du « moi » (pour aller vers « l'autre »), à « l'être » (et non au « paraître ») ?

L'humain veut recouvrer de l'espoir, redevenir passionné (enthousiaste), ressentir un esprit d'unité, de vérité et d'équité.

Au-delà des « étiquettes » (politiques, sociales et syndicales), un mouvement de fond (de « front ») émerge progressivement, véhément à « faire bouger les lignes ».

Qu'il se nomme « rouge (social)-rose (sociétal)-vert (environnemental) », qu’il opte pour le dialogue via une conférence européenne vers une coopération internationale entre les peuples, une transition écologique ambitieuse, attentive (conséquences tant sur notre univers que sur les « vivants ») et une refondation (un renouveau) démocratique, pour une démocratie directe ou qu’il mène une large réflexion pour une république et une écologie plus sociales et solidaires, il recherche avant tout à faire preuve d’un engagement unitaire « juste et vrai, fort et courageux ».

Alors que certains parlent d'uberisation de la classe politique et syndicale, d’autres agissent pour reconstruire les liens avec les citoyens, pour co-construire l’avenir à force de propositions (et non d’opposition), au-delà des clivages (de chapelles) traditionnels…

La France doit prendre cet « instant de responsabilité », prouver sa force authentique à rassembler (et non à diviser), à mélanger les « origines » pour affronter les mutations du XXI^ème siècle.