Organisations
En 2012, le groupe MGEN consolide son modèle économique, solidaire et durable
En 2012, le groupe MGEN a protégé plus de 3,5 millions de personnes. Avec un résultat net à 19 millions d’euros, malgré une imposition fiscale sans précédent, il confirme sa solidité financière. Le groupe poursuit sa stratégie de développement en diversifiant ses activités et en renforçant ses partenariats et sa performance interne.
Au 31 décembre 2012, le groupe MGEN protégeait 3 572 860 personnes (+1,5 %) au titre des régimes obligatoire et complémentaire d’assurance-maladie. Il comptait à cette date 2 998 846 mutualistes (+0,56 %). Le groupe a profité de la très bonne dynamique de MGEN Filia (+14 %) comme en 2011 et, à moindre échelle, de l’essor d’Europamut.
Le groupe a vu son chiffre d’affaires croître, notamment grâce à la fusion-absorption de la MOCEN et a réussi à maintenir un résultat net positif (à 19,8 millions d’euros) et à sécuriser ses fonds propres (+1,33 %) malgré une imposition augmentée de 76,4 millions d’euros. Le groupe prouve ainsi la solidité de son modèle économique, avec notamment une politique de gestion d’actifs performante.
En 2012, l’impôt sur les sociétés a en effet pesé à hauteur de 31,4 millions d’euros, contre 1,8 million l’année précédente. Les taxes (CMU-C et TSCA) ont représenté 189,9 millions d’euros, contre 143,1 millions en 2011.
Les comptes du groupe MGEN sont pour la première fois consolidés dans les comptes du groupe Istya dont le premier exercice a été clôturé le 31 décembre 2012.
Le groupe a par ailleurs mené une réflexion sur les principes d’une évolution future de l’offre MGEN, qui font l’objet de débats à l’assemblée générale 2013.
À l’étranger, Europamut prend ses marques, auprès des enseignants mais aussi en obtenant des contrats collectifs d’entreprises.
Avec les mutuelles issues de la fonction publique et les mutuelles étudiantes, le groupe conduit des réflexions sur les synergies possibles en matière de gestion du régime obligatoire d’assurance-maladie. Par ailleurs, le groupe a renforcé son implication dans MFPass [2] et pilote, avec la Matmut, le redressement de l’Institut Mutualiste Montsouris.
Parallèlement, le groupe MGEN et la MAIF ont décidé en mai 2012 de constituer une « alliance stratégique » avec l’objectif de proposer, chaque fois que possible, des réponses communes aux attentes de leurs sociétaires et adhérents. Plusieurs chantiers sont engagés (ou vont l’être) sur la prévoyance, la dépendance, l’assurance emprunteur, l’assurance santé et les risques IARD.
Fin 2012, le groupe a décidé de s’investir davantage auprès de la LMDE, pour l’aider à faire face à ses difficultés financières et de gestion : il participe désormais à ses décisions majeures, via un nouveau comité de surveillance conjoint et, à compter du 1er janvier 2014, la LMDE, qui conservera ses instances élues, intègrera formellement le groupe MGEN.
Les progrès de l’activité assurance mesurés les années précédentes se confirment. En qualité de service comme en qualité de gestion, le groupe prouve sa faculté à maintenir un niveau d’excellence dans la durée. En 2012, il obtient le score de 94 % de maîtrise globale pour la gestion du régime obligatoire (93 % en 2011 et 92 % en 2010). Le déploiement, à partir de 2013, d’un nouvel outil de gestion contribuera à pérenniser ces résultats.
La performance du groupe, associée à la solidité de son modèle économique, lui permettent d’atteindre un taux maximal de redistribution des cotisations sous forme de prestation, de 89,3 %, sans augmentation des cotisations.
Les établissements sanitaires et médico-sociaux renouent avec l’équilibre financier et renouvellent leur projet médical. S’ils demeurent globalement déficitaires, leurs comptes s’améliorent continument. C’est notamment le cas des cinq centres de santé, qui se réorganisent en profondeur. En parallèle, le nouvel établissement de soins de suite et de réadaptation d’Evian (Haute-Savoie) achève sa construction et ouvrira ses portes fin 2013.
Au 31 décembre 2012, le groupe MGEN protégeait 3 572 860 personnes (+1,5 %) au titre des régimes obligatoire et complémentaire d’assurance-maladie. Il comptait à cette date 2 998 846 mutualistes (+0,56 %). Le groupe a profité de la très bonne dynamique de MGEN Filia (+14 %) comme en 2011 et, à moindre échelle, de l’essor d’Europamut.
Le groupe a vu son chiffre d’affaires croître, notamment grâce à la fusion-absorption de la MOCEN et a réussi à maintenir un résultat net positif (à 19,8 millions d’euros) et à sécuriser ses fonds propres (+1,33 %) malgré une imposition augmentée de 76,4 millions d’euros. Le groupe prouve ainsi la solidité de son modèle économique, avec notamment une politique de gestion d’actifs performante.
En 2012, l’impôt sur les sociétés a en effet pesé à hauteur de 31,4 millions d’euros, contre 1,8 million l’année précédente. Les taxes (CMU-C et TSCA) ont représenté 189,9 millions d’euros, contre 143,1 millions en 2011.
Les comptes du groupe MGEN sont pour la première fois consolidés dans les comptes du groupe Istya dont le premier exercice a été clôturé le 31 décembre 2012.
Se développer sur son champ historique et au-delà
Le groupe renforce la diversification de son activité. Il franchit un nouveau cap dans le secteur interprofessionnel, avec MGEN Filia qui a fusionné avec la MOCEN et qui, depuis mi-2012, est commercialisée par le réseau Bred-Banque Populaire. Il propose également aux agents territoriaux une nouvelle offre labellisée, santé et/ou prévoyance, « MGEN Duo », issue de l’offre Complémen’ter et conçue avec la MNT et la MGET.Le groupe a par ailleurs mené une réflexion sur les principes d’une évolution future de l’offre MGEN, qui font l’objet de débats à l’assemblée générale 2013.
À l’étranger, Europamut prend ses marques, auprès des enseignants mais aussi en obtenant des contrats collectifs d’entreprises.
Renforcer les liens avec les partenaires
Le groupe MGEN contribue à la mise en œuvre des synergies opérationnelles avec les mutuelles du groupe Istya. Début 2013, il a ainsi ouvert ses réseaux d’optique et d’audioprothèse aux adhérents de celles-ci (les réseaux prenant les noms « Optistya » et « Audistya »).Avec les mutuelles issues de la fonction publique et les mutuelles étudiantes, le groupe conduit des réflexions sur les synergies possibles en matière de gestion du régime obligatoire d’assurance-maladie. Par ailleurs, le groupe a renforcé son implication dans MFPass [2] et pilote, avec la Matmut, le redressement de l’Institut Mutualiste Montsouris.
Parallèlement, le groupe MGEN et la MAIF ont décidé en mai 2012 de constituer une « alliance stratégique » avec l’objectif de proposer, chaque fois que possible, des réponses communes aux attentes de leurs sociétaires et adhérents. Plusieurs chantiers sont engagés (ou vont l’être) sur la prévoyance, la dépendance, l’assurance emprunteur, l’assurance santé et les risques IARD.
Fin 2012, le groupe a décidé de s’investir davantage auprès de la LMDE, pour l’aider à faire face à ses difficultés financières et de gestion : il participe désormais à ses décisions majeures, via un nouveau comité de surveillance conjoint et, à compter du 1er janvier 2014, la LMDE, qui conservera ses instances élues, intègrera formellement le groupe MGEN.
Doper la performance interne
Le groupe MGEN poursuit sa stratégie de transformation interne. Il continue de renforcer ses compétences grâce à une politique RH dynamique de recrutement, de formation et de promotion interne et réorganise en 2013 ses fonctions d'assistance et son management pour plus d’efficacité. Après avoir établi un état des lieux en 2011 et un référentiel d’indicateurs en 2012, il s’engage en 2013 sur une liste d’objectifs RSE concrets à atteindre à l’horizon 2015.Les progrès de l’activité assurance mesurés les années précédentes se confirment. En qualité de service comme en qualité de gestion, le groupe prouve sa faculté à maintenir un niveau d’excellence dans la durée. En 2012, il obtient le score de 94 % de maîtrise globale pour la gestion du régime obligatoire (93 % en 2011 et 92 % en 2010). Le déploiement, à partir de 2013, d’un nouvel outil de gestion contribuera à pérenniser ces résultats.
La performance du groupe, associée à la solidité de son modèle économique, lui permettent d’atteindre un taux maximal de redistribution des cotisations sous forme de prestation, de 89,3 %, sans augmentation des cotisations.
Les établissements sanitaires et médico-sociaux renouent avec l’équilibre financier et renouvellent leur projet médical. S’ils demeurent globalement déficitaires, leurs comptes s’améliorent continument. C’est notamment le cas des cinq centres de santé, qui se réorganisent en profondeur. En parallèle, le nouvel établissement de soins de suite et de réadaptation d’Evian (Haute-Savoie) achève sa construction et ouvrira ses portes fin 2013.
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