Ni l’assimilation pleine et entière aux entreprises « à but lucratif » (c'est-à-dire qui réalisent un bénéfice), ni la qualification d’entreprise « à but non lucratif » (qui ne réalisent pas de bénéfices) ne rend compte de ce que sont les entreprises de l’économie sociale et de leurs besoins » (qui ne réalisent pas de bénéfices) ne rendent compte de ce que sont les entreprises de l’économie soc
Il y a des moments dans l’histoire de l’ESS où l’on ne sait plus où donner de la tête. Pas parce que l’on serait inattentif mais parce que les choses se précipitent, partent dans tous les sens et que ce qui était vérité hier pour certains est aujourd’hui contredit par les mêmes.
Devant les réseaux de chercheurs de l'ESS réunis par l’Association pour le développement de la documentation sur l’économie sociale (ADDES), quand Jérôme Saddier souligne que l’ESS ne survivra qu’en se pensant comme un projet politique et ajoute que ce projet ne saurait être celui d’une « petite alternative sympathique » mais celui d’une « grande transformation », le secrétaire général de l’Ins
Quand on voit ce que nous demandons depuis des mois enfin se concrétiser, nous ne pouvons qu’être satisfaits.
En effet, deux informations dans la sphère de l’ESS viennent coup sur coup d'apporter un peu de baume au cœur de ceux qui la défendent et qui rappellent ce qu’elle représente pour l’évolution de l’économie.
« Exemplarité » et « différenciation » : ce n’est pas la première fois que je cite ce qui peut paraître comme les deux mots d’ordre de l’appel lancé en décembre par ESS-France.
À ce stade, personne ne sait encore ce que pourrait être le plan de soutien aux petites associations qu’Emmanuel Macron a appelé de ses vœux le 4 février dernier, lors d’un événement du débat à Évry-Courcouronnes.
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