Le 8 juin dernier, le groupe UNMI a tenu ses assemblées générales statuant sur l’exercice 2020, en direct depuis un studio de télévision et en présence des membres du bureau et de Loredana Maïer, directrice générale.
 

Le chiffre d’affaires de l’Union (68,2 millions d'euros) s’inscrit en baisse, compte tenu de la fin du dispositif de l’aide à la complémentaire de santé (ACS). Mais cette baisse reste maîtrisée (-24 %), alors que le dispositif d'ACS a représenté jusqu’à 60 % de l’activité au cours des années passées. En 2020, le chiffre d’affaires d'ACS s'établissait à 18,9 millions d'euros.
 

• La prévoyance totalise 23,9 millions d'euros : malgré le contexte sanitaire, l’activité commerciale a généré 1 792 nouveaux contrats pour 3,1 millions d'euros de cotisations, chiffre stable.
• Le chiffre d’affaires de la réassurance s’établit à 24,2 millions d'euros, en forte augmentation.

Au cours de l’exercice, l’UNMI a enregistré deux nouvelles adhésions, SMATIS France (avec 124 724 personnes protégées) et la Mutuelle des SCOP et SCIC (11 818 personnes protégées).

Par ailleurs, la mutuelle UNMI’Mut, créée en 2019, qui porte la diversification de l’activité à travers des partenariats (notamment avec le courtage) a réalisé un chiffre d’affaires de 9 millions d'euros pour un premier exercice de 18 mois.

Avec un chiffre d’affaires de 75,1 millions d'euros, un taux de couverture du SCR de 351 % et un résultat excédentaire de 121 469 euros, la solidité du groupe UNMI est confortée.

Malgré les contraintes sanitaires, le groupe UNMI a assuré la continuité de l’activité grâce à la généralisation du télétravail, qui a concerné 95 % des effectifs. Elle a maintenu une relation de proximité avec les mutuelles, notamment par la multiplication des actions de formation à distance : 240 conseillers ont été formés au cours de 84 sessions.

En parallèle, le groupe a poursuivi la modernisation et la numérisation de son outil de production, avec le déploiement d’un extranet, la mise en place d’un outil d’aide à la vente permettant de dématérialiser la souscription des contrats, l’interfaçage avec le dispositif Prest’IJ de transmission automatisée des bordereaux d’arrêts de travail, la refonte de l’infocentre et le renforcement de la sécurité informatique.