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Optimisez les jours fériés en 2012
11 – 3 = 8
En 2012, 3 des 11 jours fériés légaux tomberont un samedi ou un dimanche : en effet, le 14 juillet tombe un samedi, le 1er janvier et le 11 novembre, un dimanche. Resteront ainsi 8 jours fériés chômés tombant un jour de semaine.
N’oubliez pas de faire le détour par votre convention collective, ses dispositions pourraient vous être plus favorables. Gardez cependant la tête froide car la Cour de Cassation (6 octobre 2010), dans une interprétation peu favorable aux salariés, a estimé que les clauses du type « les salariés dont le jour de repos coïncide avec un jour férié bénéficient d’un jour supplémentaire de congé » ne visent pas le jour de repos hebdomadaire.
Quitte à en récupérer tout ou partie… C’est d’ailleurs, la politique de l’Éducation nationale. L’école sera fermée le pont de l’Ascension mais le mercredi précédent, elle accueillera ses petits élèves.
Le mois de février comptait 29 jours. L’année 2012 compte 253 jours travaillés, comme en 2011 et cela fait suite à 2012, avec ses 254 jours travaillés.
Ajoutons, enfin, des négociations salariales certainement peu généreuses.
Le contexte est créé : à vous de l'initier en comité d’entreprise.
D’autres ponts sont possibles si cela s’avérait plus propice à la négociation pour des raisons internes à votre entreprise : le lendemain du jeudi 1er novembre, la veille de Noël et du jour de l’an (tombant des mardis).
En 2012, 3 des 11 jours fériés légaux tomberont un samedi ou un dimanche : en effet, le 14 juillet tombe un samedi, le 1er janvier et le 11 novembre, un dimanche. Resteront ainsi 8 jours fériés chômés tombant un jour de semaine.
Pas de droit à compensation
Dommage qu’aucune disposition légale et conventionnelle n’oblige l’employeur à accorder un autre jour de repos en compensation au personnel.N’oubliez pas de faire le détour par votre convention collective, ses dispositions pourraient vous être plus favorables. Gardez cependant la tête froide car la Cour de Cassation (6 octobre 2010), dans une interprétation peu favorable aux salariés, a estimé que les clauses du type « les salariés dont le jour de repos coïncide avec un jour férié bénéficient d’un jour supplémentaire de congé » ne visent pas le jour de repos hebdomadaire.
Et les ponts ?
Quid des « ponts », les mardis 1er et 8 mai, et le jeudi de l’Ascension, avec le soleil revenu, s’y prêteraient volontiers. Encore une fois, aucune obligation ne pèse sur l’employeur, mais quelques arguments pourraient aider à leur négociation.À négocier
Tout d’abord, un argument économique, les mois de mai avec une telle configuration enregistre une baisse d’activité notable. Mieux vaut prendre le large 4 jours une (ou deux) fois en mai et se concentrer sur son travail le reste du mois.Quitte à en récupérer tout ou partie… C’est d’ailleurs, la politique de l’Éducation nationale. L’école sera fermée le pont de l’Ascension mais le mercredi précédent, elle accueillera ses petits élèves.
Le mois de février comptait 29 jours. L’année 2012 compte 253 jours travaillés, comme en 2011 et cela fait suite à 2012, avec ses 254 jours travaillés.
Ajoutons, enfin, des négociations salariales certainement peu généreuses.
Le contexte est créé : à vous de l'initier en comité d’entreprise.
D’autres ponts sont possibles si cela s’avérait plus propice à la négociation pour des raisons internes à votre entreprise : le lendemain du jeudi 1er novembre, la veille de Noël et du jour de l’an (tombant des mardis).
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