Le combat des élus CGT dans les instances, dans la presse et les interventions de l'inspection du travail auront fini par pousser la direction de la Macif, contrainte et forcée, à revoir sa position et à dévoiler ses intentions futures dans ce dossier.
Les élus CGT savaient parfaitement que l'agence ne rouvrirait pas le 2 novembre, comme l'avait promis la DRH.