La Poste n'est pas épargnée. La souffrance au travail générée par les incessantes réorganisations, les suppressions de postes et les mobilités forcées finissent par entraîner des conséquences identiques qu'à France Télécom.
Une fois de plus, l’État impose aux entreprises d’engager une négociation sociale. Et c’est pour répondre à cette obligation d’engager avant le 1er février 2010 des négociations sur « la prévention du stress au travail » que Safran, comme toutes les entreprises de plus de 1 000 salariés a engagé la négociation d’un accord sur ce sujet.
Le plan d’urgence gouvernemental sur la prévention des risques psychosociaux (RPS) a incité les entreprises de plus de 1 000 salariés à négocier un accord sur le stress, en application de l’accord national interprofessionnel de juillet 2008.
Le 1er février dernier, se tenait à Canal+ la première réunion de négociations portant sur les risques psychosociaux. Imposée par le gouvernement après les drames vécus chez France Telecom, Renault ou Pôle Emploi, cette négociation devait aboutir à la rédaction d'un texte finalisé avec les partenaires sociaux.
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