Revoir l'équation de la réforme des retraites : un biais cognitif et méthodologique majeurs entre économique, anthropologie, innovation.


26 Millions de salariés privé et public et 3,5 millions de chômeurs en 2023 peuvent être 21 millions dans 30 ans à PIB égal et taux de remplacement stable, c'est envisageable. A productivité suffisante et innovation galopante (digital, IA santé), le nombre d'emplois salariés soit peut diminuer, soit être limité par la durée au travail. Il est donc inutile de travailler trop longtemps, 64 ans par exemple .


Le modèle doit établir le lien entre gains de productivité sur un système global : humains + technique + sobriété.


Le seul problème est avant tout la répartition entre salariés et machines en ETP à productivité suffisante. Le déficit des retraites peut se financer par des économies sur d'autres postes : super profits, énergie, dérives fiscale et sociale, investissements hors normes écologiques,...


Revoir le modèle complet nécessitera une volonté scientifique et écologique multidisciplinaire et pas un appel à des cabinets de sachants...
Établissons aussi dans le modèle l'urgence climatique et sociale et on verra où tout cela nous mène. Combler un déficit d'une caisse sociale est trop réducteur pour une ambition républicaine. On pourrait peut-être même revenir progressivement à 60 ans ???