C'est l'hypothèse que fait l'intersyndicale (CFDT, CFE-CGC, CGT, Specis-UNSA et FO) après l'OPA du groupe Atos sur Bull l'été dernier. Après six mois, plusieurs rapprochements et/ou fermetures de sites ont été annoncés. Sur les cinq que compte Bull en Île-de-France, quatre seraient fermés dans l'optique d'un regroupement des troupes à Bezons (95), siège d'Atos.