Comment l'État, actionnaire majoritaire d’Aéroports de Paris, peut-il laisser son PDG envisager 6 448 licenciements ?
Ceci à peine un mois après la signature unanime d'un accord de rupture conventionnelle collective qui prévoit déjà le départ, sur la base du volontariat, de 1 150 salariés dont 700 ne seront pas remplacés (...)