Alors que Nadia subit depuis plusieurs mois une mise à l’écart professionnelle progressive caractérisée par un retrait de ses missions managériales, un changement de bureau sans prise en compte de son poste adapté, la non-communication des accès informatiques pour exercer son métier, des traitements discriminatoires, des pressions de son manager, bref une mise au « placard » afin de lui faire quitter l’entreprise.

Malgré les alertes internes répétées, aucune mesure concrète n’a été prise par la Direction d’Happychic pour enrayer cette spirale délétère et assurer la sécurité de Nadia.

Pire, le mardi 16 septembre, notre camarade a été notifiée par huissier de justice d’une procédure de mise à pied conservatoire et d’un entretien disciplinaire en vue d’un éventuel licenciement.

Le même jour, Christophe notre Délégué Syndical du siège de chez Happychic est également notifié d’un entretien préalable à une éventuelle sanction.

Une fois de plus, la direction générale de chez Happychic persiste à s’acharner contre nos militants, salariés dont par ailleurs le travail a toujours été exemplaire mais dont le seul tort est de défendre leurs collègues et de porter les revendications de la FEC FO.

La Section Fédérale du Commerce et VRP de la FEC FO et la Section FEC FO de chez Happychic apporte tout son soutien plein et entier à nos camarades et ne resteront pas sans réaction devant ces nouvelles attaques envers nos camarades et notre organisation syndicale.