Les salariés d'Adrexo ont reçu leurs salaires le 3 février, donc à la bonne date. Cela a encore été une épreuve pour beaucoup d’entres eux. Le doute paraît à chaque fin de mois et ajoute aux conditions de travail difficiles liées à nos métiers et aux contraintes de l’entreprise.
 

En effet, la direction avait annoncé le 29 janvier que rien n'était sûr. Pour les collègues de Hopps, c’est plus compliqué. Après vérifications, la trésorerie ne permettait effectivement pas de payer tout le monde, nos collègues de Hopps Group ont dû attendre la fin de la première semaine de février.
 

Le personnel de Hopps Group est principalement basé au siège aixois et intervient pour les services d'assistance (paye, comptabilité, informatique, achat etc.). Les employés avaient déjà dû subir ce type de retard de versement. Même s’ils ne sont pas dans la même entreprise, ils sont indispensables au fonctionnement d’Adrexo.
 

Même chose pour Colis Privé : un courriel de la DRH a annoncé un décalage au 5 février. Pourtant, cette structure n’occupe que peu de salariés, les livreurs étant des sous-traitants donc pas salariés de colis privé.
 

La situation du groupe nous inquiète donc de plus en plus.
 

Encore une illustration de ce que nos actionnaires appellent « la succès story a la française » dans leurs écrits publiés dans les gazettes locales.
 

Un « tout petit » décalage entre la réalité et la communication du groupe qui n’aura en tous cas pas échappé ce mois ci aux malheureux salariés qui font crédit à leur employeur.