Organisations
Les lauréats du prix santé au travail 2012 de la fonction publique territoriale
La deuxième édition du prix santé au travail de la fonction publique territoriale, organisée par la Mutuelle Nationale Territoriale (MNT), l’Association des Maires de France (AMF), l’Association des Administrateurs Territoriaux de France (AATF), le Syndicat National des Directeurs Généraux des Collectivités Territoriales (SNDGCT), l’Association des Directeurs de Généraux des Communautés de France (ADGCF), l’IRPS (Institut de Recherche en Prévention Santé), l’Association Nationale de Médecine Professionnelle du Personnel Territorial (ANMPPT), l’Association Nationale des médecins des collectivités territoriales (Meditoriales), l’association ResPect, la Lettre du Cadre Territorial, Santé et Travail, ainsi que la Gazette des Communes, a enregistré cette année 24 candidatures.
Aux côtés des dix-sept communes et structures intercommunales candidates, trois centres de gestion, deux conseils généraux, un SIVOM et un CCAS ont présenté leurs actions.
Elles portent sur les troubles musculo-squelettiques (TMS), les risques psycho-sociaux, les addictions mais également sur le reclassement ou le tutorat... En effet, plus qu’en 2011, derrière les thématiques de prévention, apparaît en filigrane, une volonté de plus en plus affirmée de gérer les emplois et les compétences des agents, grâce à une politique globale de santé et de sécurité au travail, propice au maintien dans l’emploi des agents.
La ville de Saint-Marcellin en Isère, qui a reçu le premier prix, s’est penchée sur la santé et les conditions de travail des aides à domicile, métier le plus exposé aux risques psychiques et physiques dans la collectivité. L’approche globale intégrant des formations aux premiers secours, sur les TMS, un parcours d’intégration pour les nouvelles recrues ainsi qu’un plan de formation et des ateliers de médiation artistique ont abouti à une baisse du nombre de jours de congé maladie ordinaire, à une réduction des problématiques psychiques liées à la pratique du métier d’aide à domicile.
Grâce à une action d’ampleur déployée durant plusieurs années, sur les troubles musculo- squelettiques, le SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac, à qui a été attribué le second prix, est parvenu à limiter l’apparition des TMS tout en pérennisant son personnel et en maintenant le volume et la qualité du tri. L’association du personnel à la démarche est forte et a notamment abouti à une adaptation du matériel utilisé.
En Gironde, la ville de Saint-Médard-en-Jalles, a reçu le troisième prix. Partant de la croissance du nombre de TMS au sein de ses effectifs, la collectivité a décidé de réfléchir au maintien dans l’emploi des agents par des actions de prévention des TMS, l’amélioration des conditions de travail proposée par le comité de pilotage et le développement de solutions de reclassement.
De plus, deux mentions spéciales ont été attribuées à :
Aux côtés des dix-sept communes et structures intercommunales candidates, trois centres de gestion, deux conseils généraux, un SIVOM et un CCAS ont présenté leurs actions.
Elles portent sur les troubles musculo-squelettiques (TMS), les risques psycho-sociaux, les addictions mais également sur le reclassement ou le tutorat... En effet, plus qu’en 2011, derrière les thématiques de prévention, apparaît en filigrane, une volonté de plus en plus affirmée de gérer les emplois et les compétences des agents, grâce à une politique globale de santé et de sécurité au travail, propice au maintien dans l’emploi des agents.
Le palmarès reflète cette nouveauté
La ville de Saint-Marcellin en Isère, qui a reçu le premier prix, s’est penchée sur la santé et les conditions de travail des aides à domicile, métier le plus exposé aux risques psychiques et physiques dans la collectivité. L’approche globale intégrant des formations aux premiers secours, sur les TMS, un parcours d’intégration pour les nouvelles recrues ainsi qu’un plan de formation et des ateliers de médiation artistique ont abouti à une baisse du nombre de jours de congé maladie ordinaire, à une réduction des problématiques psychiques liées à la pratique du métier d’aide à domicile.
Grâce à une action d’ampleur déployée durant plusieurs années, sur les troubles musculo- squelettiques, le SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac, à qui a été attribué le second prix, est parvenu à limiter l’apparition des TMS tout en pérennisant son personnel et en maintenant le volume et la qualité du tri. L’association du personnel à la démarche est forte et a notamment abouti à une adaptation du matériel utilisé.
En Gironde, la ville de Saint-Médard-en-Jalles, a reçu le troisième prix. Partant de la croissance du nombre de TMS au sein de ses effectifs, la collectivité a décidé de réfléchir au maintien dans l’emploi des agents par des actions de prévention des TMS, l’amélioration des conditions de travail proposée par le comité de pilotage et le développement de solutions de reclassement.
De plus, deux mentions spéciales ont été attribuées à :
- la ville de Baie-Mahault en Guadeloupe pour son dossier de prévention sur les addictions à l’alcool ;
- et au Centre de gestion de la fonction publique territoriale d’Eure-et-Loir sur son action d’accompagnement de tutorat du personnel handicapé.
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