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16 / 02 / 2011 | 61 vues
Gilles Lelievre / Membre
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Inscrit(e) le 12 / 02 / 2011

Les effets de la crise au sein du groupe SNEF

Les effets de la crise se font lourdement ressentir au sein de notre entreprise.

Pour preuve, les augmentatons de salaires au travers des promotions ne peuvent qu'ètre limitées selon nos cadres. Les chiffres de l'exercice de l'an passé sont mauvais. Nous avons mème de la chance d'avoir un capitaine qui sait diriger son navire par mauvais temps. Ce capitaine (adepte de tout ce qui touche à la voile) qui, en privilégiant l'emploi, nous permet de conserver notre travail.

  • Ne serais-je pas inconscient en revendiquant l'application des textes en vigueur ?
  • Comment osé-je réclamer mon dû ?
  • Est-il bien raisonable de vouloir créer une section syndicale au sein d'une agence SNEF ?
  • Ne devrais-je pas culpabiliser pour toutes ces actions que je mène ?

Égoïsme, insouscience ou réalisme ?

Eurêka !

Je viens de trouver la réponse en naviguant sur le net. J'ai simplement tapé le nom du capitaine: Jean-Pierre Dreau et appuyé sur « enter ».

Je clique sur le premier résultat proposé, et là, oh surprise :

« Les plus grandes fortunes françaises » (challenge.fr)

169ème > Jean-Pierre Dréau

Sa fortune en 2010 : 200 millions €
en 2009 : 165 millions €

 +21.21 %
« Cet ingénieur entré dans le groupe de génie électrique (CA : 886 millions) en 1969, en possède 72 % depuis le rachat de l'entreprise par ses salariés en 1992 ».


Alors non, je ne m'en veux pas, et je suis mème motivé à faire évoluer les choses  dans mon entreprise, défendre nos droit, et obtenir un vrai dialogue social.

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