Les contrats d’alternance et d’apprentissage largement plébiscités par les chefs d’entreprise
Selon le sondage « observatoire social de l’entreprise » publié en janvier dernier par IPSOS pour l’organisme d’enseignement supérieur et de formation professionnelle CESI, les contrats d’alternance et d’apprentissage sont massivement plébiscités par les chefs d’entreprise comme un moyen d’intégration progressive des jeunes salariés.
Cette étude révèle que les contrats d’alternance et d’apprentissage sont considérés par 71% des chefs d’entreprise comme un moyen d’intégrer progressivement un jeune salarié à leur entreprise et de lui apprendre un métier, avant un recrutement définitif. Ils sont ensuite 14% à considérer que ces contrats sont avant tout un moyen de tester plus longuement un jeune salarié avant de décider ou non de l’embaucher, tandis que 10 % estiment qu’ils sont surtout un moyen peu coûteux de renforcer une équipe pour une durée déterminée.
Les chefs d’entreprise du secteur BTP (82 %) sont les premiers à plébisciter les contrats d’alternance et d’apprentissage comme un moyen d’intégration progressive des jeunes salariés, suivis par les chefs d’entreprise du secteur de l’industrie (78 %), du commerce (67,5 %) et des services (66,7 %). Cet argument recueille surtout les suffrages des chefs d’entreprise de 100 à 500 salariés et plus, qui le citent à 90 %, suivis par les chefs d’entreprise de 50 à 99 salariés (85 %).
Interrogés sur les mêmes problématiques, les salariés ont une perception légèrement différente des contrats d’alternance et d’apprentissage. Si la majorité des salariés interrogés perçoit ces contrats comme étant avant tout un moyen pour eux d’intégrer progressivement une entreprise, ils sont toutefois moins nombreux à citer cet argument que les chefs d’entreprise (59,4 % de salariés contre 71 % de chefs d’entreprise). Par ailleurs, leur point de vue diffère de celui des chefs d’entreprise concernant les deux autres arguments. Les salariés considèrent en effet davantage l’alternance et l’apprentissage comme un moyen peu coûteux de renforcer une équipe (23 %) que comme un moyen de tester plus longuement un jeune salarié avant de décider ou non de l’embaucher (16 %).
Tandis que les contrats d’alternance et d’apprentissage sont massivement plébiscités par les chefs d’entreprise comme un moyen d’intégrer progressivement des jeunes salariés à leur entreprise ou de les tester plus longuement avant de prendre la décision d’une embauche, les salariés ont une perception plus nuancée de ces dispositifs puisqu’une part non négligeable d’entre eux (23 %) considère avant tout l’alternance comme un moyen peu coûteux pour l’entreprise de renforcer une équipe pour une durée déterminée.
Cette étude révèle que les contrats d’alternance et d’apprentissage sont considérés par 71% des chefs d’entreprise comme un moyen d’intégrer progressivement un jeune salarié à leur entreprise et de lui apprendre un métier, avant un recrutement définitif. Ils sont ensuite 14% à considérer que ces contrats sont avant tout un moyen de tester plus longuement un jeune salarié avant de décider ou non de l’embaucher, tandis que 10 % estiment qu’ils sont surtout un moyen peu coûteux de renforcer une équipe pour une durée déterminée.
Les chefs d’entreprise du secteur BTP (82 %) sont les premiers à plébisciter les contrats d’alternance et d’apprentissage comme un moyen d’intégration progressive des jeunes salariés, suivis par les chefs d’entreprise du secteur de l’industrie (78 %), du commerce (67,5 %) et des services (66,7 %). Cet argument recueille surtout les suffrages des chefs d’entreprise de 100 à 500 salariés et plus, qui le citent à 90 %, suivis par les chefs d’entreprise de 50 à 99 salariés (85 %).
Interrogés sur les mêmes problématiques, les salariés ont une perception légèrement différente des contrats d’alternance et d’apprentissage. Si la majorité des salariés interrogés perçoit ces contrats comme étant avant tout un moyen pour eux d’intégrer progressivement une entreprise, ils sont toutefois moins nombreux à citer cet argument que les chefs d’entreprise (59,4 % de salariés contre 71 % de chefs d’entreprise). Par ailleurs, leur point de vue diffère de celui des chefs d’entreprise concernant les deux autres arguments. Les salariés considèrent en effet davantage l’alternance et l’apprentissage comme un moyen peu coûteux de renforcer une équipe (23 %) que comme un moyen de tester plus longuement un jeune salarié avant de décider ou non de l’embaucher (16 %).
Tandis que les contrats d’alternance et d’apprentissage sont massivement plébiscités par les chefs d’entreprise comme un moyen d’intégrer progressivement des jeunes salariés à leur entreprise ou de les tester plus longuement avant de prendre la décision d’une embauche, les salariés ont une perception plus nuancée de ces dispositifs puisqu’une part non négligeable d’entre eux (23 %) considère avant tout l’alternance comme un moyen peu coûteux pour l’entreprise de renforcer une équipe pour une durée déterminée.
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