Organisations
Action sociale interministérielle : 2 millions de moins pour les prestations
Jeudi 16 avril 2015, s’est tenue la séance d’installation du comité interministériel d’action sociale (CIAS) compétent pour la fonction publique d'État, dans sa nouvelle composition suite aux résultats des élections professionnelles du 4 décembre 2014 dans la fonction publique, sous la présidence de Marylise Lebranchu, ministre de la Fonction publique.
Deux jours après l’annonce de la suppression de l’indemnité exceptionnelle de compensation de la CSG et dans la continuité du gel de la valeur du point d’indice depuis six ans, la ministre au nom du gouvernement continue d’appauvrir l’ensemble des fonctionnaires et agents publics.
Un gouvernement qui n’entend pas les revendications des salariés portées par les organisations syndicales, comme lors de la grève et des manifestations du 9 avril dernier, et qui va jusqu’à accentuer, dès le lendemain, des contraintes fortes sur les agents, porte une lourde responsabilité.
Force Ouvrière ne cesse de le répéter : l’austérité est triplement suicidaire socialement, économiquement et démocratiquement.
Dans le contexte, la délégation FO au CIAS ne pouvait en aucun cas acter puis cogérer la baisse drastique de moyens annoncés qui affecte directement la vie quotidienne des agents mais aussi le travail des camarades militants dans les SRIAS (sections régionales).
C’est pourquoi, seule, la délégation FGF-FO, a pris ses responsabilités en quittant la salle, refusant ainsi de cautionner un tel désastre social.
- Rappelons que Force Ouvrière est la première organisation syndicale de la fonction publique d'État.
Deux jours après l’annonce de la suppression de l’indemnité exceptionnelle de compensation de la CSG et dans la continuité du gel de la valeur du point d’indice depuis six ans, la ministre au nom du gouvernement continue d’appauvrir l’ensemble des fonctionnaires et agents publics.
Un gouvernement qui n’entend pas les revendications des salariés portées par les organisations syndicales, comme lors de la grève et des manifestations du 9 avril dernier, et qui va jusqu’à accentuer, dès le lendemain, des contraintes fortes sur les agents, porte une lourde responsabilité.
Force Ouvrière ne cesse de le répéter : l’austérité est triplement suicidaire socialement, économiquement et démocratiquement.
Dans le contexte, la délégation FO au CIAS ne pouvait en aucun cas acter puis cogérer la baisse drastique de moyens annoncés qui affecte directement la vie quotidienne des agents mais aussi le travail des camarades militants dans les SRIAS (sections régionales).
C’est pourquoi, seule, la délégation FGF-FO, a pris ses responsabilités en quittant la salle, refusant ainsi de cautionner un tel désastre social.
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